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Les menaces d’embargos économiques et des solutions : le dernier jour de l’Assemblée générale était

« On ne parle pas de M. Lobato en mettant ses enfants pour travailler à la ferme , on parle de l’esclavage des enfants, Monsieur le délégué de la Côte d’Ivoire ! » M. Moraes demande que d’autres délégués traitent de ce problème d’une façon générale et globale aussi, plutôt que de parler d’exemples ponctuels.


Aujourd’hui, le 5 du septembre, la dernière réunion sur le sujet du travail forcé des enfants s’est déroulée dans l’Assemblée générale. Le débat y a été méné si lentement parce que les délégués ont concentré ses efforts dans la même issue de la réunion précédente. Toutefois, la délégation chinoise a demandé un débat non modéré en souhaitant le début de la discussion centrale sur le thème dy travail des enfants.


La deuxième session a commencé par la présence des délégations de la Côte d’Ivoire, Guinée Équatoriale, Royaume-Uni, la Russie et, notre chère nation, la France.


Les délégations africaines ont répété son attitude dans la réunion précédente et ont donné dres déclarations très intense et fortes. Certains délégués ont maintenu le thème de la réunion concentré dans le travail forcé mais M. Moraes, le délégué français, avec la délégation de la Chine, a sollicité que les nations présentes insistent sur l’issue du travail des enfants.


Par conséquent, les autres États ont commencé à emphatiser le développement du document provisoire. De plus, il faut souligner qu'il y avait eu une vague rumeur disant que les États-Unis proposent un embargo économique à l’encontre des nations africaines. Toutefois, cette rumeur a été tombé par les délégations de l’Afrique.


Au long de la troisième session, l’Assemblée générale a reçu des renseignements grandiloquents sur des enfants souffrant de malnutrition grave et sur des entreprises américaines qui s’installent en Malaisie. L’assemblée générale a eu la responsabilité de penser à des solutions afin de résoudre ce problème en trente minutes.

Ensuite, les délégations ont présenté des solutions possibles en faisant pression sur la Chine afin qu’elle puisse aider les victimes.

A la fin de la réunion, ils ont décidé; allouer les enfants en Chine et qu’ils devraient recevoir d’aide monétaire du Royaume-Uni et de la France pendant deux mois. En cas de besoin, la Turquie allouerait aussi ces enfants. De plus, les État-Unis doivent envoyer une équipe afin de fiscaliser l’entreprise accusée et, si les irrégularités existent, la Malaisie devra payer des amendes à la nation américaine.


Après la résolution de cette crise d’urgence, les délégués ont voté du document provisoire qui a été développé dans le débat et qui traite aussi des sujets liés au travail forcé des enfants. En conclusion, le document a été approuvé à l’unanimité para l’Assemblée.


Ce dernier jour de négociations a été extrêmement utile, car les délégations ont signé un document d’extrême importance pour la communauté internationale, de plus ils ont obtenu la résolution de la crise que l’on avait proposée.


Résumé des délégations

SUEDE : le délégué suédois s’oppose à l’esclavage moderne et pourtant il ne donne pas son avis d’une manière précise pendant sa brève participation dans l’Assemblée Générale des Nations unies.


FRANCE : le délégué français Eduardo Moraes a eu une présence importante dans l’Assemblée générale des Nations Unies. Il a beaucoup discuté les sujets proposés par l’ONU, donc pendant toute la discussion il a donné sa position d’une forme précise et directe. M. Moraes a montré aussi votre désaccord tout le temps par rapport aux paroles d’autres délégués. Il a fait des demandes importantes pour le développement du débat et par conséquent à travers ces discussions on a pu savoir un peu plus de l’opinion française sur l’esclavage moderne.


CHINE : les déléguées chinoises avaient pendant l’Assemblée générale des questionnements sur les « lois du travail » de son pays. Tous les autres pays participants ont posé des questions pour savoir mieux l’avis chinois sur le sujet de cette réunion. Elles ont eu une grande importance parce que au travers des ces discussions, les autres pays ont pu réfléchir encore une fois et, par ailleurs, s’opposer ou non.


ROYAUME-UNI : le Royaume-Uni a participé de cette rencontre avec deux délégués qui ont participé d’une façon remarquable. Ils ont des propositions qui ont laissé les autres délégués un peu agiter comme par exemple le délégué français. Ils ont le but de motiver les statistiques sur le trafic des êtres humains. Pour finir, ils ont dit qu’ils n’ont pas de conditions de recevoir des réfugiés et immigrants dans leur pays et que toutefois ils pourraient les aider avec un appui financier.


Par M. Raphaël Santos et M. Matheus Elias Nos correspondants Mme. Larissa Torres, Mme. Livia Teixeira, Mme. Renata Canario, M. Tomás Paixão, M. Matheus Nogueira

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